MENINVACT, poudre et solvant pour suspension injectable, vaccin meningococcique du groupe C oligosidique conjugué (adsorbé), boîte de 1 flacon de poudre flacon de solvant de ½ mL
Retiré du marché le : 05/11/2008
Dernière révision : 16/02/2007
Taux de TVA : 2.1%
Laboratoire exploitant : SANOFI PASTEUR MSD
- Immunisation active des nourrissons à partir de l'âge de 2 mois, des enfants, des adolescents et des adultes pour la prévention des maladies invasives dues à Neisseria meningitidis du sérogroupe C.
- L'utilisation de MENINVACT doit suivre les recommandations officielles.
- L'utilisation de MENINVACT doit suivre les recommandations officielles.
- Hypersensibilité à l'un des composants du vaccin, y compris l'anatoxine diphtérique.
- Sujets ayant présenté des signes d'hypersensibilité à la suite d'une précédente administration de MENINVACT.
- Comme pour les autres vaccins, l'administration de MENINVACT doit être différée chez les sujets présentant une maladie fébrile aiguë sévère.
- MENINVACT ne doit en aucun cas être injecté par voies intraveineuse, sous-cutanée ou intradermique.
- Sujets ayant présenté des signes d'hypersensibilité à la suite d'une précédente administration de MENINVACT.
- Comme pour les autres vaccins, l'administration de MENINVACT doit être différée chez les sujets présentant une maladie fébrile aiguë sévère.
- MENINVACT ne doit en aucun cas être injecté par voies intraveineuse, sous-cutanée ou intradermique.
- Avant l'injection de tout vaccin, la personne responsable de l'administration doit prendre toutes les précautions nécessaires pour la prévention des réactions allergiques ou toute autre réaction. Comme pour tous les vaccins injectables, il est recommandé de toujours disposer d'un traitement médical approprié et d'assurer une surveillance pour le cas rare où surviendrait une réaction anaphylactique suivant l'administration du vaccin.
- Avant d'administrer MENINVACT, il faut demander aux parents ou au responsable de l'enfant des informations sur ses antécédents personnels et familiaux, sur son état de santé récent y compris son statut vaccinal, sur son état de santé actuel et les éventuelles réactions indésirables qui ont pu avoir lieu à la suite de vaccinations antérieures.
- Les bénéfices de la vaccination avec le vaccin conjugué contre le méningocoque de sérogroupe C doivent être appréciés en fonction de l'incidence de l'infection à méningocoque de sérogroupe C dans la population donnée, avant la mise en place d'un programme de vaccination élargi.
- MENINVACT ne protège pas contre les infections méningococciques dues à d'autres sérogroupes de Neisseria meningitidis (A, B, 29-E, H, I, K, L, W-135, X, Y, ou Z, y compris ceux non typés). Une protection totale vis-à-vis des infections méningococciques du sérogroupe C ne peut pas être garantie.
- Il n'existe pas de données disponibles sur l'utilisation du vaccin dans le contrôle d'une épidémie.
- Il n'existe pas de données sur l'utilisation du vaccin chez les adultes âgés de 65 ans et plus (voir rubrique propriétés pharmacodynamiques).
- Chez les sujets immunodéprimés, la vaccination peut ne pas entraîner une réponse en anticorps protecteurs appropriée. Bien que l'infection à VIH ne soit pas une contre-indication, MENINVACT n'a pas été évalué spécifiquement chez les sujets immunodéprimés.
- Les sujets présentant un déficit en fractions du complément et les sujets présentant une asplénie fonctionnelle ou anatomique pourraient développer une réponse immunitaire aux vaccins méningococciques C conjugués ; cependant, le degré de protection qui serait acquis est inconnu.
- Bien que des syndromes méningés, tels que douleur/raideur de la nuque ou photophobie, aient été signalés, le vaccin ne provoque pas de méningite à méningocoque C. Par conséquent, la vigilance clinique quant à la possibilité d'une méningite concomitante doit être maintenue.
Les vaccins conjugués contenant la protéine Cross Reacting Material (CRM 197) de Corynebacterium diphtheriae ne doivent pas être considérés comme des agents immunisants contre la diphtérie. L'immunisation avec ce vaccin ne doit pas se substituer à la vaccination habituelle contre la diphtérie.
- Toute infection aiguë ou maladie fébrile nécessite de reporter l'administration de MENINVACT, à moins que, selon l'avis médical ce retard n'entraîne des risques plus importants. Des affections apyrétiques mineures, telles que de légères infections de l'appareil respiratoire supérieur, ne sont généralement pas des raisons suffisantes pour différer la vaccination.
- MENINVACT ne doit en aucun cas être injecté par voies intraveineuse, sous-cutanée ou intradermique.
- MENINVACT n'a pas été évalué chez les sujets atteints de thrombocytopénie ou de troubles hémorragiques. Le rapport bénéfice-risque doit être évalué chez les sujets à risque d'hémorragie après une injection intramusculaire.
- Les parents doivent être informés du schéma de vaccination de ce vaccin. Des précautions nécessaires, telles que l'utilisation d'antipyrétiques devront être prises par les parents ou le responsable de l'enfant, et la nécessité de signaler d'éventuelles réactions indésirables devra être soulignée.
- Grossesse : il n'existe aucune donnée sur l'utilisation de ce vaccin chez la femme enceinte. Les études conduites chez le lapin à différents stades de la gestation n'ont pas montré de risques pour le foetus à la suite de l'administration de MENINVACT. Néanmoins, devant la gravité de la maladie méningococcique C, la grossesse ne doit pas faire exclure la vaccination quand le risque d'exposition est clairement défini.
- Allaitement : il n'existe aucune donnée disponible sur la tolérance du vaccin durant l'allaitement. Le rapport bénéfice-risque doit être évalué avant de décider de vacciner ou non durant l'allaitement.
- Avant d'administrer MENINVACT, il faut demander aux parents ou au responsable de l'enfant des informations sur ses antécédents personnels et familiaux, sur son état de santé récent y compris son statut vaccinal, sur son état de santé actuel et les éventuelles réactions indésirables qui ont pu avoir lieu à la suite de vaccinations antérieures.
- Les bénéfices de la vaccination avec le vaccin conjugué contre le méningocoque de sérogroupe C doivent être appréciés en fonction de l'incidence de l'infection à méningocoque de sérogroupe C dans la population donnée, avant la mise en place d'un programme de vaccination élargi.
- MENINVACT ne protège pas contre les infections méningococciques dues à d'autres sérogroupes de Neisseria meningitidis (A, B, 29-E, H, I, K, L, W-135, X, Y, ou Z, y compris ceux non typés). Une protection totale vis-à-vis des infections méningococciques du sérogroupe C ne peut pas être garantie.
- Il n'existe pas de données disponibles sur l'utilisation du vaccin dans le contrôle d'une épidémie.
- Il n'existe pas de données sur l'utilisation du vaccin chez les adultes âgés de 65 ans et plus (voir rubrique propriétés pharmacodynamiques).
- Chez les sujets immunodéprimés, la vaccination peut ne pas entraîner une réponse en anticorps protecteurs appropriée. Bien que l'infection à VIH ne soit pas une contre-indication, MENINVACT n'a pas été évalué spécifiquement chez les sujets immunodéprimés.
- Les sujets présentant un déficit en fractions du complément et les sujets présentant une asplénie fonctionnelle ou anatomique pourraient développer une réponse immunitaire aux vaccins méningococciques C conjugués ; cependant, le degré de protection qui serait acquis est inconnu.
- Bien que des syndromes méningés, tels que douleur/raideur de la nuque ou photophobie, aient été signalés, le vaccin ne provoque pas de méningite à méningocoque C. Par conséquent, la vigilance clinique quant à la possibilité d'une méningite concomitante doit être maintenue.
Les vaccins conjugués contenant la protéine Cross Reacting Material (CRM 197) de Corynebacterium diphtheriae ne doivent pas être considérés comme des agents immunisants contre la diphtérie. L'immunisation avec ce vaccin ne doit pas se substituer à la vaccination habituelle contre la diphtérie.
- Toute infection aiguë ou maladie fébrile nécessite de reporter l'administration de MENINVACT, à moins que, selon l'avis médical ce retard n'entraîne des risques plus importants. Des affections apyrétiques mineures, telles que de légères infections de l'appareil respiratoire supérieur, ne sont généralement pas des raisons suffisantes pour différer la vaccination.
- MENINVACT ne doit en aucun cas être injecté par voies intraveineuse, sous-cutanée ou intradermique.
- MENINVACT n'a pas été évalué chez les sujets atteints de thrombocytopénie ou de troubles hémorragiques. Le rapport bénéfice-risque doit être évalué chez les sujets à risque d'hémorragie après une injection intramusculaire.
- Les parents doivent être informés du schéma de vaccination de ce vaccin. Des précautions nécessaires, telles que l'utilisation d'antipyrétiques devront être prises par les parents ou le responsable de l'enfant, et la nécessité de signaler d'éventuelles réactions indésirables devra être soulignée.
- Grossesse : il n'existe aucune donnée sur l'utilisation de ce vaccin chez la femme enceinte. Les études conduites chez le lapin à différents stades de la gestation n'ont pas montré de risques pour le foetus à la suite de l'administration de MENINVACT. Néanmoins, devant la gravité de la maladie méningococcique C, la grossesse ne doit pas faire exclure la vaccination quand le risque d'exposition est clairement défini.
- Allaitement : il n'existe aucune donnée disponible sur la tolérance du vaccin durant l'allaitement. Le rapport bénéfice-risque doit être évalué avant de décider de vacciner ou non durant l'allaitement.
EFFETS INDESIRABLES RAPPORTES LORS DES ESSAIS CLINIQUES :
- Les effets indésirables rapportés dans toutes les classes d'âge sont listés ci-dessous.
- Les descriptions suivantes de fréquence ont été utilisées comme : Très fréquent (> = 10%) ; Fréquent (> = 1% et < 10%) ; Peu fréquent (> = 0,1% et < 1%) ; Rare (> = 0,01% et < 0,1%) ; Très rare (< 0,01%).
- Les effets indésirables ont été recueillis le jour de la vaccination et les jours suivants, pendant au moins 3 jours et jusqu'à 6 jours.
- La majorité des réactions étaient transitoires et résolutives au cours de la période suivi.
- Dans tous les groupes d'âge, les réactions au site d'injection (incluant rougeur, oedème, sensibilité et douleur) étaient très fréquentes (de 1 cas sur 3 chez les grands enfants à 1 cas sur 10 chez les enfants d'âge préscolaire).
- Toutefois, ces réactions n'avaient généralement pas de signification clinique. Les rougeurs ou oedème d'au moins 3 cm ainsi que la sensibilité pouvant gêner le mouvement pendant plus de 48 heures étaient peu fréquentes chez les sujets étudiés.
- Une fièvre d'au moins 38°C est fréquente (de 1 cas sur 20 chez les nourrissons et les jeunes enfants à 1 cas sur 10 chez les enfants d'âge préscolaire) mais elle ne dépasse généralement pas 39,1°C, en particulier dans les classes d'âge supérieures.
- Chez les nourrissons et les jeunes enfants, les pleurs et les vomissements (jeunes enfants) étaient fréquemment rapportés après vaccination. Irritabilité, somnolence, troubles du sommeil, anorexie, diarrhée et vomissement (nourrissons) étaient très fréquents après vaccination. La relation entre ces symptômes et MENINVACT ou d'autres vaccins administrés simultanément, en particulier DTCoq, n'a pas été démontrée.
- Les effets indésirables très fréquemment rapportés comprennent des myalgies et des arthralgies chez les adultes. La somnolence était fréquemment rapportée chez les plus jeunes enfants. Des céphalées ont été très fréquemment rapportées chez les enfants en école secondaire et fréquemment rapportées chez les enfants en école primaire.
LES EFFETS INDESIRABLES RAPPORTES DANS TOUTES LES CLASSES D'AGE SONT LISTES CI-APRES :
- Troubles généraux :
Fréquents (> = 1% et < 10%) : fièvre > = 38,0°C.
- Réactions au site d'injection :
Très fréquents ( > = 10%) : rougeur, oedème, douleur/sensibilité à la pression.
LES AUTRES REACTIONS RAPPORTEES CHEZ LES NOURRISSONS (PREMIERE ANNEE DE VIE) ET LES JEUNES ENFANTS (SECONDE ANNEE DE VIE) SONT LISTEES CI-APRES :
- Troubles généraux :
. Très fréquents (> = 10%) : irritabilité, somnolence et troubles du sommeil.
. Fréquents (> = 1% et < 10%) : pleurs.
- Troubles gastro-intestinaux :
. Très fréquents (> = 10%) : diarrhée, anorexie, vomissements (nourrissons).
. Fréquents (> = 1% et < 10%) : vomissements (jeunes enfants).
LES AUTRES REACTIONS RAPPORTEES CHEZ LES ENFANTS PLUS AGES ET LES ADULTES SONT :
- Troubles généraux :
. Très fréquents (> = 10%) : malaise, céphalées (enfants en école secondaire).
. Fréquents (> = 1% et < 10%) : céphalées (enfants en école primaire).
- Troubles musculosquelettiques, du tissu conjonctif et des os :
Très fréquents (> = 10%) : myalgies et arthralgies.
- Troubles gastro-intestinaux :
Très fréquents (> = 10%) : nausées (adultes).
EFFETS INDESIRABLES RAPPORTES APRES COMMERCIALISATION (TOUTES TRANCHES D'AGE CONFONDUES) :
- Les réactions les plus fréquemment rapportées après commercialisation comprennent sensation de vertige, fièvre, céphalées, nausées, vomissements et malaises.
- Les fréquences rapportées ci-dessous sont basées sur les taux de notifications spontanées et ont été calculées à partir du nombre de notifications et du nombre de doses distribuées.
- Troubles du système immunitaire :
Très rares (< 0,01%) : lymphadénopathie, anaphylaxie, réaction d'hypersensibilité, parmi lesquelles bronchospasme, oedème facial et oedème de Quincke.
- Troubles du système nerveux :
. Très rares (< 0,01%) : vertiges, convulsions incluant convulsions fébriles, malaise, hypo-esthésies et paresthésies, hypotonie.
. De très rares cas de crises convulsives ont été rapportés suite à la vaccination par MENINVACT ; les patients ont généralement récupéré rapidement. Certaines des crises convulsives rapportées pouvaient être des syncopes. Le taux de crises convulsives rapportées se situait en dessous du taux de référence de l'épilepsie chez l'enfant. Chez les nourrissons, les crises convulsives étaient généralement associées à de la fièvre et étaient vraisemblablement des convulsions fébriles.
. De très rares cas de troubles visuels et de photophobies ont été rapportés suite à une vaccination avec un vaccin méningococcique du groupe C conjugué, habituellement associés à d'autres symptômes neurologiques tels que céphalées et vertiges.
- Troubles gastro-intestinaux :
Très rares (< 0,01%) : nausées, vomissements et diarrhée.
- Affections cutanées et affections du tissu sous-cutané :
Très rares (< 0,01%) : éruptions cutanées, urticaire, prurit, purpura, érythème polymorphe et syndrome de Stevens-Johnson.
- Troubles musculosquelettique, du tissu conjonctif et du tissu osseux :
Très rares (< 0,01%) : myalgies et arthralgies.
- La rechute d'un syndrome néphrotique a été rapportée en association avec des vaccins méningococciques du groupe C conjugués.
- Les effets indésirables rapportés dans toutes les classes d'âge sont listés ci-dessous.
- Les descriptions suivantes de fréquence ont été utilisées comme : Très fréquent (> = 10%) ; Fréquent (> = 1% et < 10%) ; Peu fréquent (> = 0,1% et < 1%) ; Rare (> = 0,01% et < 0,1%) ; Très rare (< 0,01%).
- Les effets indésirables ont été recueillis le jour de la vaccination et les jours suivants, pendant au moins 3 jours et jusqu'à 6 jours.
- La majorité des réactions étaient transitoires et résolutives au cours de la période suivi.
- Dans tous les groupes d'âge, les réactions au site d'injection (incluant rougeur, oedème, sensibilité et douleur) étaient très fréquentes (de 1 cas sur 3 chez les grands enfants à 1 cas sur 10 chez les enfants d'âge préscolaire).
- Toutefois, ces réactions n'avaient généralement pas de signification clinique. Les rougeurs ou oedème d'au moins 3 cm ainsi que la sensibilité pouvant gêner le mouvement pendant plus de 48 heures étaient peu fréquentes chez les sujets étudiés.
- Une fièvre d'au moins 38°C est fréquente (de 1 cas sur 20 chez les nourrissons et les jeunes enfants à 1 cas sur 10 chez les enfants d'âge préscolaire) mais elle ne dépasse généralement pas 39,1°C, en particulier dans les classes d'âge supérieures.
- Chez les nourrissons et les jeunes enfants, les pleurs et les vomissements (jeunes enfants) étaient fréquemment rapportés après vaccination. Irritabilité, somnolence, troubles du sommeil, anorexie, diarrhée et vomissement (nourrissons) étaient très fréquents après vaccination. La relation entre ces symptômes et MENINVACT ou d'autres vaccins administrés simultanément, en particulier DTCoq, n'a pas été démontrée.
- Les effets indésirables très fréquemment rapportés comprennent des myalgies et des arthralgies chez les adultes. La somnolence était fréquemment rapportée chez les plus jeunes enfants. Des céphalées ont été très fréquemment rapportées chez les enfants en école secondaire et fréquemment rapportées chez les enfants en école primaire.
LES EFFETS INDESIRABLES RAPPORTES DANS TOUTES LES CLASSES D'AGE SONT LISTES CI-APRES :
- Troubles généraux :
Fréquents (> = 1% et < 10%) : fièvre > = 38,0°C.
- Réactions au site d'injection :
Très fréquents ( > = 10%) : rougeur, oedème, douleur/sensibilité à la pression.
LES AUTRES REACTIONS RAPPORTEES CHEZ LES NOURRISSONS (PREMIERE ANNEE DE VIE) ET LES JEUNES ENFANTS (SECONDE ANNEE DE VIE) SONT LISTEES CI-APRES :
- Troubles généraux :
. Très fréquents (> = 10%) : irritabilité, somnolence et troubles du sommeil.
. Fréquents (> = 1% et < 10%) : pleurs.
- Troubles gastro-intestinaux :
. Très fréquents (> = 10%) : diarrhée, anorexie, vomissements (nourrissons).
. Fréquents (> = 1% et < 10%) : vomissements (jeunes enfants).
LES AUTRES REACTIONS RAPPORTEES CHEZ LES ENFANTS PLUS AGES ET LES ADULTES SONT :
- Troubles généraux :
. Très fréquents (> = 10%) : malaise, céphalées (enfants en école secondaire).
. Fréquents (> = 1% et < 10%) : céphalées (enfants en école primaire).
- Troubles musculosquelettiques, du tissu conjonctif et des os :
Très fréquents (> = 10%) : myalgies et arthralgies.
- Troubles gastro-intestinaux :
Très fréquents (> = 10%) : nausées (adultes).
EFFETS INDESIRABLES RAPPORTES APRES COMMERCIALISATION (TOUTES TRANCHES D'AGE CONFONDUES) :
- Les réactions les plus fréquemment rapportées après commercialisation comprennent sensation de vertige, fièvre, céphalées, nausées, vomissements et malaises.
- Les fréquences rapportées ci-dessous sont basées sur les taux de notifications spontanées et ont été calculées à partir du nombre de notifications et du nombre de doses distribuées.
- Troubles du système immunitaire :
Très rares (< 0,01%) : lymphadénopathie, anaphylaxie, réaction d'hypersensibilité, parmi lesquelles bronchospasme, oedème facial et oedème de Quincke.
- Troubles du système nerveux :
. Très rares (< 0,01%) : vertiges, convulsions incluant convulsions fébriles, malaise, hypo-esthésies et paresthésies, hypotonie.
. De très rares cas de crises convulsives ont été rapportés suite à la vaccination par MENINVACT ; les patients ont généralement récupéré rapidement. Certaines des crises convulsives rapportées pouvaient être des syncopes. Le taux de crises convulsives rapportées se situait en dessous du taux de référence de l'épilepsie chez l'enfant. Chez les nourrissons, les crises convulsives étaient généralement associées à de la fièvre et étaient vraisemblablement des convulsions fébriles.
. De très rares cas de troubles visuels et de photophobies ont été rapportés suite à une vaccination avec un vaccin méningococcique du groupe C conjugué, habituellement associés à d'autres symptômes neurologiques tels que céphalées et vertiges.
- Troubles gastro-intestinaux :
Très rares (< 0,01%) : nausées, vomissements et diarrhée.
- Affections cutanées et affections du tissu sous-cutané :
Très rares (< 0,01%) : éruptions cutanées, urticaire, prurit, purpura, érythème polymorphe et syndrome de Stevens-Johnson.
- Troubles musculosquelettique, du tissu conjonctif et du tissu osseux :
Très rares (< 0,01%) : myalgies et arthralgies.
- La rechute d'un syndrome néphrotique a été rapportée en association avec des vaccins méningococciques du groupe C conjugués.
PRUDENCE en cas de conduite de véhicules ou d'utilisation de machines (vertiges).
Grossesse :
Il n'existe aucune donnée sur l'utilisation de ce vaccin chez la femme enceinte.
Les études conduites chez le lapin à différents stades de la gestation n'ont pas montré de risques pour le foetus à la suite de l'administration de MENINVACT. Néanmoins, devant la gravité de la maladie méningococcique C, la grossesse ne doit pas faire exclure la vaccination quand le risque d'exposition est clairement défini.
Allaitement :
Il n'existe aucune donnée disponible sur la tolérance du vaccin durant l'allaitement.
Le rapport bénéfice-risque doit être évalué avant de décider de vacciner ou non durant l'allaitement.
Il n'existe aucune donnée sur l'utilisation de ce vaccin chez la femme enceinte.
Les études conduites chez le lapin à différents stades de la gestation n'ont pas montré de risques pour le foetus à la suite de l'administration de MENINVACT. Néanmoins, devant la gravité de la maladie méningococcique C, la grossesse ne doit pas faire exclure la vaccination quand le risque d'exposition est clairement défini.
Allaitement :
Il n'existe aucune donnée disponible sur la tolérance du vaccin durant l'allaitement.
Le rapport bénéfice-risque doit être évalué avant de décider de vacciner ou non durant l'allaitement.
- MENINVACT ne doit pas être mélangé avec d'autres vaccins dans la même seringue. Des sites d'injection séparés doivent être utilisés si plus d'un vaccin doit être administré.
- Des études cliniques ont montré que l'administration de MENINVACT en même temps (pour les vaccins injectables, dans des sites d'injection séparés) que les vaccins suivants, ne diminue pas la réponse immunitaire vis-à-vis de ces antigènes :
. vaccins contre la poliomyélite [vaccin poliomyélitique inactivé (IPV) et vaccin poliomyélitique oral] ;
. vaccin contre la diphtérie (D) et le tétanos (T), seul ou en combinaison avec le vaccin contre la coqueluche à germes entiers ou acellulaire (aP) ;
. vaccin conjugué contre l'Haemophilus influenzae type b (Hib) ;
. vaccin contre l'hépatite B (HB) seul ou combiné avec le vaccin contre la diphtérie, le tétanos, le vaccin Hib, le vaccin polio inactivé et le vaccin coqueluche acellulaire ;
. vaccin combiné contre la rougeole, les oreillons et la rubéole ;
. vaccin pneumococcique heptavalent conjugué (Prevenar). L'effet de l'administration concomitante de MENIVACT avec le vaccin pneumococcique heptavalent conjugué (Prevenar) et un vaccin hexavalent (DtaP-HB-IPV-Hib) sur le réponse immunitaire a été étudié chez des nourissons vaccinés approximativement à 2 mois, 4 mois et demi et 6 mois et demi. L'éventuelle interférence immunitaire n'a pas été étudiée selon d'autres schémas de primovaccination.
- Des variations mineures des titres d'anticorps (MGT) ont été cependant observées d'une étude à l'autre ; toutefois la signification clinique de ces observations n'a pas été établie.
- Dans diverses études menées avec différents vaccins, l'administration concomitante de vaccins conjugués méningococciques du sérogroupe C avec des combinaisons contenant des composants coquelucheux acellulaires (avec ou sans virus poliomyélitiques inactivés, antigène de surface de l'hépatite B ou antigènes Hib conjugués) a montré des moyennes géométriques des titres d'anticorps sériques bactéricides (ASB) plus faibles comparativement aux administrations séparées ou aux co-administrations avec des vaccins coquelucheux à germes entiers. Les proportions de sujets qui atteignent des titres d'ASB d'au moins 1/8 ou 1/128 ne sont pas touchées. Actuellement, les conséquences potentielles de ces observations sur la durée de protection ne sont pas connues.
- Des études cliniques ont montré que l'administration de MENINVACT en même temps (pour les vaccins injectables, dans des sites d'injection séparés) que les vaccins suivants, ne diminue pas la réponse immunitaire vis-à-vis de ces antigènes :
. vaccins contre la poliomyélite [vaccin poliomyélitique inactivé (IPV) et vaccin poliomyélitique oral] ;
. vaccin contre la diphtérie (D) et le tétanos (T), seul ou en combinaison avec le vaccin contre la coqueluche à germes entiers ou acellulaire (aP) ;
. vaccin conjugué contre l'Haemophilus influenzae type b (Hib) ;
. vaccin contre l'hépatite B (HB) seul ou combiné avec le vaccin contre la diphtérie, le tétanos, le vaccin Hib, le vaccin polio inactivé et le vaccin coqueluche acellulaire ;
. vaccin combiné contre la rougeole, les oreillons et la rubéole ;
. vaccin pneumococcique heptavalent conjugué (Prevenar). L'effet de l'administration concomitante de MENIVACT avec le vaccin pneumococcique heptavalent conjugué (Prevenar) et un vaccin hexavalent (DtaP-HB-IPV-Hib) sur le réponse immunitaire a été étudié chez des nourissons vaccinés approximativement à 2 mois, 4 mois et demi et 6 mois et demi. L'éventuelle interférence immunitaire n'a pas été étudiée selon d'autres schémas de primovaccination.
- Des variations mineures des titres d'anticorps (MGT) ont été cependant observées d'une étude à l'autre ; toutefois la signification clinique de ces observations n'a pas été établie.
- Dans diverses études menées avec différents vaccins, l'administration concomitante de vaccins conjugués méningococciques du sérogroupe C avec des combinaisons contenant des composants coquelucheux acellulaires (avec ou sans virus poliomyélitiques inactivés, antigène de surface de l'hépatite B ou antigènes Hib conjugués) a montré des moyennes géométriques des titres d'anticorps sériques bactéricides (ASB) plus faibles comparativement aux administrations séparées ou aux co-administrations avec des vaccins coquelucheux à germes entiers. Les proportions de sujets qui atteignent des titres d'ASB d'au moins 1/8 ou 1/128 ne sont pas touchées. Actuellement, les conséquences potentielles de ces observations sur la durée de protection ne sont pas connues.
Posologie :
Aucune donnée n'est disponible sur l'utilisation de différents vaccins méningococciques du groupe C conjugués pour la primovaccination ou la dose de rappel. Dans la mesure du possible, le même vaccin doit être utilisé pour tout le schéma vaccinal.
- Primovaccination :
. Nourrissons de 2 mois à 12 mois :
Deux doses, de 0,5 ml chacune, doivent être administrées avec un intervalle d'au moins deux mois entre les doses (voir rubrique interactions sur l'administration de MENINVACT avec d'autres vaccins).
. Enfants âgés de plus de un an, adolescents et adultes : une dose unique de 0,5 ml.
- Doses de rappel :
. Il est recommandé qu'une dose de rappel soit administrée après la primovaccination effectuée chez les nourrissons de moins de 12 mois. La date d'administration de cette dose doit être conforme aux recommandations officielles disponibles. Les informations concernant les réponses obtenues après les doses de rappel et relatives à la co-administration avec d'autres vaccins pédiatriques sont décrites respectivement en rubriques propriétés pharmacodynamiques et interactions.
. La nécessité de doses de rappel chez les sujets vaccinés par dose unique (c'est-à-dire les sujets âgés de 12 mois ou plus lors de la première immunisation) n'a pas encore été établie.
Mode d'administration :
- Injection intramusculaire.
- Le vaccin (0,5 ml) doit être injecté par voie intramusculaire profonde, de préférence dans la partie antérolatérale de la cuisse chez les nourrissons et dans la région deltoïdienne chez les enfants plus âgés, les adolescents et les adultes.
- Le vaccin ne doit pas être injecté par voie intraveineuse, sous-cutanée, ou intradermique.
- MENINVACT ne doit pas être mélangé avec d'autres vaccins dans la même seringue. En cas d'administration simultanée de plusieurs vaccins, des sites d'injection séparés doivent être utilisés.
Aucune donnée n'est disponible sur l'utilisation de différents vaccins méningococciques du groupe C conjugués pour la primovaccination ou la dose de rappel. Dans la mesure du possible, le même vaccin doit être utilisé pour tout le schéma vaccinal.
- Primovaccination :
. Nourrissons de 2 mois à 12 mois :
Deux doses, de 0,5 ml chacune, doivent être administrées avec un intervalle d'au moins deux mois entre les doses (voir rubrique interactions sur l'administration de MENINVACT avec d'autres vaccins).
. Enfants âgés de plus de un an, adolescents et adultes : une dose unique de 0,5 ml.
- Doses de rappel :
. Il est recommandé qu'une dose de rappel soit administrée après la primovaccination effectuée chez les nourrissons de moins de 12 mois. La date d'administration de cette dose doit être conforme aux recommandations officielles disponibles. Les informations concernant les réponses obtenues après les doses de rappel et relatives à la co-administration avec d'autres vaccins pédiatriques sont décrites respectivement en rubriques propriétés pharmacodynamiques et interactions.
. La nécessité de doses de rappel chez les sujets vaccinés par dose unique (c'est-à-dire les sujets âgés de 12 mois ou plus lors de la première immunisation) n'a pas encore été établie.
Mode d'administration :
- Injection intramusculaire.
- Le vaccin (0,5 ml) doit être injecté par voie intramusculaire profonde, de préférence dans la partie antérolatérale de la cuisse chez les nourrissons et dans la région deltoïdienne chez les enfants plus âgés, les adolescents et les adultes.
- Le vaccin ne doit pas être injecté par voie intraveineuse, sous-cutanée, ou intradermique.
- MENINVACT ne doit pas être mélangé avec d'autres vaccins dans la même seringue. En cas d'administration simultanée de plusieurs vaccins, des sites d'injection séparés doivent être utilisés.
Durée de conservation :
3 ans.
- Après reconstitution, une utilisation immédiate est recommandée.
- Les deux composants du produit peuvent avoir des dates de péremption différentes. L'étui mentionne la date de péremption la plus courte, qui est la date à respecter. L'étui et TOUT son contenu doivent être détruits à la date de péremption indiquée sur l'étui.
Précautions particulières de conservation :
A conserver au réfrigérateur (entre + 2°C et + 8°C). Ne pas congeler. Conserver à l'abri de la lumière.
3 ans.
- Après reconstitution, une utilisation immédiate est recommandée.
- Les deux composants du produit peuvent avoir des dates de péremption différentes. L'étui mentionne la date de péremption la plus courte, qui est la date à respecter. L'étui et TOUT son contenu doivent être détruits à la date de péremption indiquée sur l'étui.
Précautions particulières de conservation :
A conserver au réfrigérateur (entre + 2°C et + 8°C). Ne pas congeler. Conserver à l'abri de la lumière.
MENINVACT ne doit pas être mélangé avec d'autres médicaments dans la même seringue.
Aucun cas de surdosage n'a été rapporté.
Groupe pharmacothérapeutique : VACCINS ANTIMENINGOCOCCIQUES, code ATC : J07AH.
IMMUNOGENICITE :
- Aucun essai prospectif d'efficacité n'a été réalisé.
Les équivalents sérologiques de protection n'ont pas été définitivement établis pour les vaccins méningococciques C conjugués ; ceux-ci sont en cours d'évaluation.
Le titrage des anticorps sériques bactéricides (ASB) mentionné dans le texte ci-après a utilisé, comme source du complément, du sérum humain. Ces résultats ne sont pas directement comparables aux résultats des anticorps utilisant du sérum de lapin comme source de complément.
- Des données relatives à l'administration de deux doses lors de la primovaccination sont disponibles sur la base d'une étude clinique qui comparait le schéma de vaccination 2, 3, 4 mois au schéma 2, 4 mois chez 241 enfants.
. 1 mois après la primovaccination, presque tous les sujets avaient atteint un taux de hASB > = 1/8 (98% et 100% dans les groupes respectifs). De plus, 83% et 92% dans les groupes respectif avaient atteint un titre d'au moins 1/128.
. 28 jours après une nouvelle dose de Vaccin MenC non conjugué administrée à l'âge de 12 mois, les 50 sujets ayant reçu 3 doses lors de la primovaccination, ainsi que 54 sujets sur 56 vaccinés avec 2 doses lors de la primovaccination, avaient atteint un taux de hASB > = 1/8.
- Par rapport aux vaccins méningococciques polysaccharidiques non conjugués actuellement utilisés dans les études cliniques, la réponse immunitaire induite par MENINVACT s'est révélée plus élevée chez les enfants en bas âge, les enfants et les adolescents, et, comparable chez les adultes (voir tableau). De plus, contrairement aux vaccins polysaccharidiques non conjugués, MENINVACT induit une mémoire immunitaire après vaccination bien que la durée de protection n'ait pas été établie.
- Il n'existe aucune donnée chez les adultes âgés de 65 ans et plus.
COMPARAISON DU POURCENTAGE DE SUJETS AVEC DES TITRES D'ANTICORPS BACTERICIDES ANTIMENINGOCOCCIQUES C > = 1/8 (COMPLEMENT HUMAIN) A 1 MOIS SUIVANT L'IMMUNISATION PAR MENINVACT OU PAR UN VACCIN MENINGOCOCCIQUE POLYSACCHARIDIQUE NON CONJUGUE ACTUELLEMENT ENREGISTRE (PAR GROUPE D'AGE).
ASB% > = 1/8 (IC95%) Complément humain :
. 1-2 ans [MENINVACT n = 237 / MenPS (1) n = 153] : 78% (72-83) / 19% (13-26).
. 3-5 ans [MENINVACT n = 80 / MenPS (1) n = 80] : 79% (68-87) / 28% (18-39).
. 11-17 ans [MENINVACT n = 90 / MenPS (2) n = 90] : 84% (75-91) / 68% (57-77).
- 18-64 ans [MENINVACT n = 136 / MenPS (2) n = 130] : 90% (84-95) / 88% (82-93).
MenPS : vaccin méningococcique polysaccharidique non conjugué enregistré.
(1) = sérogroupes A, C, W-135 et Y, contenant 50 µg de sérogroupe C par dose.
(2) = sérogroupes A et C, contenant 50 µg de sérogroupe C par dose.
Aucune étude pharmacodynamique n'a été effectuée avec MENINVACT étant donné qu'il s'agit d'un vaccin.
SURVEILLANCE APRES COMMERCIALISATION SUIVANT UNE CAMPAGNE DE VACCINATION AU ROYAUME-UNI :
- Dans le programme de vaccination généralisée au Royaume-Uni (utilisant trois vaccins méningococciques de sérogroupe C conjugués en proportions variables) couvrant la période depuis le début de la vaccination fin 1999 jusqu'à mars 2004, les estimations de l'efficacité du vaccin ont démontré la nécessité d'une dose de rappel à la suite de la primovaccination (schéma à 3 doses administrées à 2, 3 et 4 mois). Au cours de l'année suivant la fin de la primovaccination, l'efficacité du vaccin dans la cohorte de nourrissons a été estimée à 93% (IC95% : 67,99). Cependant, plus d'un an après la fin de la primovaccination, une baisse de la protection a été clairement mise en évidence.
Les estimations d'efficacité basées sur un nombre de cas limité à ce jour indiquent également qu'il pourrait y avoir une baisse de la protection chez les enfants en bas âge ayant reçu une seule dose en primovaccination.
- Dans toutes les autres classes d'âge (jusqu'à 18 ans) vaccinées avec une seule dose, l'efficacité s'est maintenue jusqu'ici autour de 90% ou plus dans l'année suivant la vaccination et au-delà.
IMMUNOGENICITE :
- Aucun essai prospectif d'efficacité n'a été réalisé.
Les équivalents sérologiques de protection n'ont pas été définitivement établis pour les vaccins méningococciques C conjugués ; ceux-ci sont en cours d'évaluation.
Le titrage des anticorps sériques bactéricides (ASB) mentionné dans le texte ci-après a utilisé, comme source du complément, du sérum humain. Ces résultats ne sont pas directement comparables aux résultats des anticorps utilisant du sérum de lapin comme source de complément.
- Des données relatives à l'administration de deux doses lors de la primovaccination sont disponibles sur la base d'une étude clinique qui comparait le schéma de vaccination 2, 3, 4 mois au schéma 2, 4 mois chez 241 enfants.
. 1 mois après la primovaccination, presque tous les sujets avaient atteint un taux de hASB > = 1/8 (98% et 100% dans les groupes respectifs). De plus, 83% et 92% dans les groupes respectif avaient atteint un titre d'au moins 1/128.
. 28 jours après une nouvelle dose de Vaccin MenC non conjugué administrée à l'âge de 12 mois, les 50 sujets ayant reçu 3 doses lors de la primovaccination, ainsi que 54 sujets sur 56 vaccinés avec 2 doses lors de la primovaccination, avaient atteint un taux de hASB > = 1/8.
- Par rapport aux vaccins méningococciques polysaccharidiques non conjugués actuellement utilisés dans les études cliniques, la réponse immunitaire induite par MENINVACT s'est révélée plus élevée chez les enfants en bas âge, les enfants et les adolescents, et, comparable chez les adultes (voir tableau). De plus, contrairement aux vaccins polysaccharidiques non conjugués, MENINVACT induit une mémoire immunitaire après vaccination bien que la durée de protection n'ait pas été établie.
- Il n'existe aucune donnée chez les adultes âgés de 65 ans et plus.
COMPARAISON DU POURCENTAGE DE SUJETS AVEC DES TITRES D'ANTICORPS BACTERICIDES ANTIMENINGOCOCCIQUES C > = 1/8 (COMPLEMENT HUMAIN) A 1 MOIS SUIVANT L'IMMUNISATION PAR MENINVACT OU PAR UN VACCIN MENINGOCOCCIQUE POLYSACCHARIDIQUE NON CONJUGUE ACTUELLEMENT ENREGISTRE (PAR GROUPE D'AGE).
ASB% > = 1/8 (IC95%) Complément humain :
. 1-2 ans [MENINVACT n = 237 / MenPS (1) n = 153] : 78% (72-83) / 19% (13-26).
. 3-5 ans [MENINVACT n = 80 / MenPS (1) n = 80] : 79% (68-87) / 28% (18-39).
. 11-17 ans [MENINVACT n = 90 / MenPS (2) n = 90] : 84% (75-91) / 68% (57-77).
- 18-64 ans [MENINVACT n = 136 / MenPS (2) n = 130] : 90% (84-95) / 88% (82-93).
MenPS : vaccin méningococcique polysaccharidique non conjugué enregistré.
(1) = sérogroupes A, C, W-135 et Y, contenant 50 µg de sérogroupe C par dose.
(2) = sérogroupes A et C, contenant 50 µg de sérogroupe C par dose.
Aucune étude pharmacodynamique n'a été effectuée avec MENINVACT étant donné qu'il s'agit d'un vaccin.
SURVEILLANCE APRES COMMERCIALISATION SUIVANT UNE CAMPAGNE DE VACCINATION AU ROYAUME-UNI :
- Dans le programme de vaccination généralisée au Royaume-Uni (utilisant trois vaccins méningococciques de sérogroupe C conjugués en proportions variables) couvrant la période depuis le début de la vaccination fin 1999 jusqu'à mars 2004, les estimations de l'efficacité du vaccin ont démontré la nécessité d'une dose de rappel à la suite de la primovaccination (schéma à 3 doses administrées à 2, 3 et 4 mois). Au cours de l'année suivant la fin de la primovaccination, l'efficacité du vaccin dans la cohorte de nourrissons a été estimée à 93% (IC95% : 67,99). Cependant, plus d'un an après la fin de la primovaccination, une baisse de la protection a été clairement mise en évidence.
Les estimations d'efficacité basées sur un nombre de cas limité à ce jour indiquent également qu'il pourrait y avoir une baisse de la protection chez les enfants en bas âge ayant reçu une seule dose en primovaccination.
- Dans toutes les autres classes d'âge (jusqu'à 18 ans) vaccinées avec une seule dose, l'efficacité s'est maintenue jusqu'ici autour de 90% ou plus dans l'année suivant la vaccination et au-delà.
Aucune étude pharmacocinétique n'a été effectuée avec MENINVACT.
Des vertiges ont été très rarement rapportés après vaccination. Ceci peut affecter temporairement l'aptitude à conduire un véhicule ou à utiliser des machines.
Des études de toxicité aiguë et subaiguë effectuées chez les souris, les cobayes et les lapins n'ont fait apparaître que des altérations histologiques locales secondaires à l'injection du vaccin. Les études embryofoetales n'ont pas mis en évidence de toxicité.
- Le vaccin lyophilisé doit être reconstitué avec le solvant d'hydroxyde d'aluminium.
. Agiter doucement le flacon de solvant.
. Prélever 0,6 ml de suspension et l'utiliser pour reconstituer le vaccin méningococcique du groupe C conjugué-CRM197 contenu dans le flacon.
. Agiter délicatement le flacon jusqu'à dissolution complète (ceci pour assurer l'adsorption de l'antigène).
. En utilisant une seconde aiguille de calibre approprié, prélever 0,5 ml de produit reconstitué, en évitant la formation de bulles d'air.
. Après reconstitution, le vaccin se présente sous la forme d'une suspension légèrement opaque blanche à jaune clair, sans particules visibles.
- Tout produit non utilisé ou déchet doit être éliminé conformément à la réglementation en vigueur.
. Agiter doucement le flacon de solvant.
. Prélever 0,6 ml de suspension et l'utiliser pour reconstituer le vaccin méningococcique du groupe C conjugué-CRM197 contenu dans le flacon.
. Agiter délicatement le flacon jusqu'à dissolution complète (ceci pour assurer l'adsorption de l'antigène).
. En utilisant une seconde aiguille de calibre approprié, prélever 0,5 ml de produit reconstitué, en évitant la formation de bulles d'air.
. Après reconstitution, le vaccin se présente sous la forme d'une suspension légèrement opaque blanche à jaune clair, sans particules visibles.
- Tout produit non utilisé ou déchet doit être éliminé conformément à la réglementation en vigueur.
Liste I.
Le produit se présente sous forme de 2 flacons, l'un contenant une poudre blanche légèrement teintée, l'autre, une suspension aqueuse blanche de solvant.
MENINVACT se présente sous la forme de deux flacons (verre de Type I), munis de bouchons (caoutchouc bromobutyle). Boîte de 1 dose.